« Décodexion » nécessaire!

La vie associative, l’épicentre de la cooportunité…


Dans nos journées de 24 heures, où le temps n’en devient que plus précieux, une pause s’impose pour prendre le temps de se (re)connecter au monde, et notamment au travers de l’aventure associative que l’on peut vivre au fil du bénévolat !

Un espace où l’on peut instaurer un véritable échange, « écouter » et accepter l’autre tel qu’il est. Un espace où l’on peut créer cette «connexion» et rester authentique:

  • En rendant visible un lien invisible qui nous unit au quotidien
  • En rendant lisible un lien illisible qui nous désunit au quotidien
  • En rendant utile un lien qui  nous paraît si souvent inutile…

Investir cet espace offre l’opportunité à tout un chacun de (ré)enchanter cette relation parfois trop fonctionnelle au monde et de s’inscrire individuellement dans une dynamique collective de changement, au travers ici du bénévolat…

Ce temps bénévole, à considérer comme une PAUSE.

Un « créneau » qui revêt une signification particulière : une pause pour soi-même ! Un espace-temps pour ralentir son rythme et s’extraire du mouvement. Pour prendre soin de soi tout en prenant soin des autres. Se recentrer sur ses propres valeurs et ses propres attentes. Se requestionner et se confronter au regard des autres. Apprendre aussi, toujours, et parfois, à relativiser. Se retrouver dans la simplicité des relations humaines et ainsi se ressourcer au contact des autres en revenant à notre plus petit dénominateur commun, l’humain !

Une façon de décoder les codes, pour (re)connecter des Hommes ?

Un espace physique aussi où chaque bénévole pourra s’interroger sur sa relation à l’autre et se présenter tel qu’il est. Exister dans l’interaction sociale. Échanger et comprendre. « Ecouter » et accepter l’autre tel qu’il est – être accepté aussi… Un espace où l’on peut créer cette « connexion » en restant authentique. « Rétablir » ainsi à sa façon une relation au monde par des choix que l’on fait, au regard de ses souhaits, dans un cadre posé avec ses propres contraintes (il y en aura toujours !) MAIS que l’on pourra pour autant accepter ou refuser !

Une entrée dans la relation collective voulue, écho d’une certaine liberté retrouvée… S’émanciper individuellement et collectivement dans un espace que l’on respecte et qui nous respecte. Se (re)connecter à « l’autre » avec lequel, il ou elle sera amené à œuvrer dans le cadre d’un projet commun !

Une façon certaine de se (re)connecter aussi avec soi-même et in fine, de laisser libre cours à sa personnalité !

Une façon de se repositionner en citoyen du monde en reprenant conscience de ce rôle que l’on peut avoir au quotidien dans cette «construction du monde de demain », de vivre en cultivant cette fraternité dont on parle tant !

Vivre ensemble et construire ensemble…

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